Nous sommes toujours là Cookie, pour toi, pour ta justice, nous ferons tout ce qui peut être fait pour qu'enfin, tu puisses être libre par delà l'arc en ciel. Tu brilles de 1000 feux. Tu restes éternelle et on te voit dans le ciel la nuit
Lundi 13 mai 2019
Une plainte avec constitution de partie civile est partie en R.A.R. auprès du doyen des juges d’instruction de BORDEAUX. Son contenu est reproduit ci-dessous. Une aide juridictionnelle est en cours pour contourner le délicat problème de la consignation, qui a agité tant de passions malsaines, pour finalement s’éloigner et renoncer à l’essentiel.
Car COOKIE est au dessus des finances des unes et des autres. Elle est désormais dans le ciel, nous regarde, voit son image captée qui tourne en boucle, elle sait tout. Elle est céleste, cosmique, a dépassé le pont de l’arc en ciel et observe les comportements humains depuis sa hauteur.
Il s’agit d’une promesse faite par les anciennes administratrices de sa page, Cathy, Michelle, son avocat et moi-même, dont toutes les forces et les talents ont été réunis dans une quête éperdue et unique : sa justice.
Ce serment fait à ce petit être de lumière qui n’a connu que de très brefs instantanés de bonheur terrestre doit être tenu. Il en va de notre loyauté, de notre foi. Et c’ est encore plus fort, plus intense, depuis que la promesse est gravée dans le marbre de sa tombe. On est sur la route, belle, blanche et lumineuse, la seule qui soit, la seule vraie, l’unique voie qui mène à sa justice. On l’a déjà empruntée, on est sur le chemin, la plainte a été adressée au doyen de Bordeaux, même si on a été un peu retardées dans notre mission suprême.
Désormais, Cookie, juchée sur un nuage va nous voir travailler comme jadis, animées par l’ardeur et le besoin d’ébranler les institutions, par delà sa mort, nous choisissons comme épitaphe à l’éternelle ambassadrice de la cause animale, ces mots qui contiennent tout le sens de notre mission :
JUSTICE POUR COOKIE !
Mercredi 15 mai 2019 - Date anniversaire de la mort de Cookie
Cette page s’ouvre à l’occasion de l’anniversaire de ton décès, de ton départ vers les cieux, et on a toutes pensé qu’on ne pouvait pas te faire un plus beau cadeau. Elle s’ouvrira à l’heure de ta mort, demain matin, aux aurores. On ne peut plus utiliser ton image, mais on s’en arrange, et on a fait faire un pastel par une artiste. On a ton âme, imprégnée dans nos for intérieurs, et c’est là l’essentiel.
Cookie ma belle, ma princesse, tu nous as fait rêver, avec ton minois strié et tes yeux bleu profond. Deux agates d’une beauté rare, qui perçaient les écrans, tu étais là, sous nos regards ébahis, toi la minette bordelaise, à faire battre très fort le cœur de la toile. On regardait, éblouis par ta résurrection, tes premiers pas, tes blessures cautérisées, ton courage aussi, et ta gentillesse. Pas une once de crainte ou de dépit, tu étais si tendre, tellement supérieure à l’humain, et malgré ta souffrance, confiante encore. Tu nous a régalés avec tes doudous, tes facéties, un elfe, une fée, un petit être d’exception, venu sur terre pour y connaître la souffrance. Car on sait que tu as été défenestrée deux fois, mais quel a été le reste de ta vie avec le monstre ? Te donnait-il à manger, ou des coups de pied ? Je t’imagine ma poupée aller te terrer sous le lit ou sous des meubles, avec tes yeux remplis d’effroi, tremblante, pour esquiver sa violence, son ire qu’il déchaînait contre toi, sa proie innocente. C’est tellement facile, et il a osé dire que ton sang était de la sauce tomate ! Et les institutions l’on crû, ou ont fait semblant ! Mais où va la justice des hommes, ou est son honneur, cette balance, ce symbole noble, qui représente l'équilibre, l'harmonie, l'ordre, l'équité, la protection des plus faibles, des sans défense ?
Ta vie a été dure, inimaginablement dure ma princesse, toi petit être si fragile, tendre, joueuse, aimante, toi qui ne demandait pourtant pas grand-chose ; un peu d’amour, juste un peu d’amour. Tu nous a donné tant de bonheur, et on avait les yeux rivés sur nos ordinateurs, et on plongeait dans les tiens, on te voyait jouer avec tes doudous, espiègle, facétieuse. Tu nous a donné tant de bonheur, une victoire a-t-on cru de la tendresse et de la vie sur la barbarie. Tu étais si douce malgré ce que tu avais subi, tu nous a prodigué à tous des leçons de vie. Cathy s’est surpassé avec ses créations, Aline et Michelle t’ont aimée et ont redoublé d’ardeur et d’inventivité, et moi j’ai géré ta page dont l’essence, le but, la raison d’être était de te donner ta justice. C’était le minimum, que d’essayer de faire entendre tes cris de douleur à ces juges malentendants, lorsque tu as été projetée du quatrième étage, et que tu t’es fracassée. On te le devait, mais ils ont préféré absoudre le monstre. Et tu as vécu dans cette indignité que te faisait nos institutions, toi la pureté incarnée, et je sais que tu sais, d’ailleurs tu comprends tout... jusqu’à ta mort, puis celle de ta sœur de cœur, sans qu’on en connaisse les raisons, on ne nous a pas dit, mais ce double décès questionne. Tu es partie vers les cieux, et tu regardes les humains et leur petitesse, toi que j’ai tant aimé, à qui j’ai fait une promesse quand tu vivais encore, qui est désormais et pour toujours gravée dans le marbre de ta tombe à présent que tu es céleste. JUSTICE POUR TOI, COOKIE.
On a été retardées, mais ce n’est pas grave. J’ai même cru ouïr l’impensable, l’inaudible, que cela n’en vaudrait pas la peine ? Il faudrait laisser le tortionnaire aller et venir en toute impunité, le laisser poursuivre son chemin de malfaisant ? Te venger COOKIE, cela n’en vaudrait pas la peine ? Qu’on me laisse poursuivre, le retrouver, car il s’est envolé, a changé de demeure, et doit bien rigoler, ricaner, se frotter les mains, certain de son impunité, avec le sentiment hideux d’être au-dessus de la justice, ou pire, protégée par elle. C’est l’anniversaire de ton départ, et on ouvre une nouvelle page, car je n’ai pas oublié ma promesse, et comment le pourrais-je, elle me hante, les jours sombres et les nuits sans lune je pense à toi. Je reviens vers toi ma princesse, je sais que tu nous vois, avec ton minois d’ange et ton regard si doux, tu vois notre engagement, notre volonté profonde, inébranlable, de respecter notre serment. Je sais que tu le sens, et que tu attends de ton ciel qu’il soit arrêté, et pourquoi pas menotté, c’est un rêve. On te le doit. Justice pour toi COOKIE.
Les soutiens de Cookie de toute la France et de l'étranger ... Merci à eux qui ont toujours été là pour elle."Heroes Tonight" No Copyright We are heroes tonight, we will fly above the sky ... I've been all around the globe, trying to protect your soul" Tous pour Cookie et avec Cookie, pour sa justice, à jamais
Dimanche 2 juin 2019
Un cœur comme le tien " L'émission de la protection animale " Et c'est vrai. Sur la page de Cookie, que vous pouvez rejoindre
Il nous suffit de tendre l’oreille, et on peut parfois entendre geindre COOKIE, une complainte douce, une mélopée. Venue sur terre pour y souffrir, elle a pourtant su nous envoûter, nous extirper de notre torpeur tiède et humaine. Elle était espiègle, un petit être de lumière, avec le minois barré d’une strie, et des yeux où on plongeait les unes et les autres, hypnotisés. On a travaillé à sa justice, une quête éperdue, de Paris de Bordeaux de Marseille, c’était le but et le seul poursuivi. Arrêter le monstre qui était laissé libre et sans encombre par la justice bordelaise. Car les juges n’ont pas entendu la complainte de COOKIE, ce petit gémissement doux, psalmodié toute sa courte vie durant. Elle était douce cette complainte, une petite musique, quelques notes pour nous demander. A tous, elle nous a parlé COOKIE, et nous avions compris qu’elle était une émissaire venue du ciel, pour émouvoir le cœur des hommes, si dur, comme de la pierre. Un face à face entre le bien qu’elle incarnait, et le mal personnifié par son bourreau. Une lutte qui ne fût pas menée à armes égales, car malgré notre ouïe développée, les juges de Bordeaux étaient vraiment durs de la feuille. Et elle s’en est allée, COOKIE, et les humains à leur tour ont cessé d’entendre ce petit bruit, ce gémissement tendre, son message.
Jusqu’à ce que se ré-ouvre sa page. Là où vous irez, pour y lire sa vie supposée, imaginée par le cœur. Les dernières volontés de COOKIE je vous le dis, j’en suis sure, c’est bien de traquer le monstre, celui qui rigole, qui éclate de rire, se tape sur les cuisses tellement il trouve drôle la misère qui s’est créée et répandue autour de sa tombe.
COOKIE n’a pas pu faire de testament, car elle était animale. Mais nous avons tous compris ses dernières volontés : traquer le monstre inlassablement, le jour, la nuit, pour qu’il n’ait pas de repos, qu’il ait à payer sa dette judiciairement s’entend, envers ce petit être de lumière.
De la haut, ou d’ailleurs, de là où elle se trouve, elle veille, je le sais. Elle aura sa vengeance posthume COOKIE, son message a été entendu par les quatre administratrices de sa page.
JUSTICE POUR COOKIE.
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