Les deux petits chatons, Bambou et Morty, ont été défenestrés par leur propriétaire en octobre 2018 à Grasse. Morts sur le coup, la plainte a été classée sans suite.
Nous n'acceptons pas ce classement sans suite qui minimise encore la maltraitance animale. Le code civil a changé le statut des animaux domestiques de "meubles" à "êtres sensibles" et les peines doivent être à la hauteur. Même si le terme crime n'est pas applicable aux animaux, pour nous, s'est bien un crime, un meurtre sous le coup de la colère, et l'article 521-1 du code pénal est là pour faire appliquer la loi.
Que les tribunaux cessent de fermer les yeux sur ces horreurs et fassent appliquer les lois.
Justice pour Bambou et Morty !
Jeudi 9 mai 2019
Oui, je poursuis à la défense de ces deux bébés, jetés par une fenêtre par un homme lâche, monstrueux, qui s'en est pris à des bébés comme exutoire à sa frustration. Il n'a qu'à aller dans des salles de punching-ball, ou des rage room, ou fury-rooom, où les humains peuvent casser assiettes, bouteilles, écrans, vêtu d'un costume de Hooligan s'il le faut. Mais laissez les animaux hors du champs de votre énergie destructrice, ces êtres de lumière et de pureté. Et je vais poursuivre, je ne lâcherai pas ce "criminel" qui a passé ses nerfs sur deux petits innocents, en les jetant par la fenêtre, et qui se sont écrasés dans une cour. Je les poursuivrai sans relâche, et puisque la Justice rechigne à le faire, il existe des voies de droit, traditionnellement faites pour les humains, que l'on va utiliser pour vous, Bambou et Morty. Votre âme m'a été confiée, et aussi votre vengeance céleste. Je le poursuivrai de mes assiduités judiciaires, je ne lui foutrai pas la paix, je vais harceler les institutions, oui, un Avocat a ce pouvoir, et ce pouvoir je l'exercerai pour vous les animaux.
Mercredi 5 juin 2019
Bonjour les bébés. Unis dans la mort, et dont la mémoire m'a été confiée. Et j'en suis honorée, et cherche à comprendre ce classement sans suite, me procurer les éléments de l'enquête, si elle a été faite avec sérieux, car il n'est pas possible d'en rester là. Je dois être à la hauteur de mon serment, et contester virulament cette décision qui fait offense à deux petits être innocents parachutés dans le vide. Et Grasse ne répond pas. Triple mépris pour vos vies volées, et le classement sans suite d'un double "meurtre", et la théorie indécente de la chandelle prônée sur votre précédente page, et le silence lourd et assourdissant tenu par les institutions sur le devenir de la plainte. Ça fait beaucoup; et si vous nous observez, vous devez penser que nous, les humains, sommes pitoyables. Alors, je me suis un peu agacée, et j'ai envoyé le courrier reproduit ci-dessous, en RAR, avec copie au parquet général. Non mais des fois, ma demande se fait dans le cadre de la loi, et il est inacceptable de dire que l'infraction n'est pas caractérisée alors qu'on sait que vous avez été jetés, et de quel appartement. Et si jusqu'à maintenant on fermait les yeux sur ces orientations du parquet, et sur inefficacité des enquêtes, les temps changent, sous la pression populaire, et le droit pénal s’immisce dans l'inertie judiciaire, ouvre des portes dans des murs aveugles, et met là, devant les autorités le cadavre de ces deux chatons. Et je me fraierai un chemin, que j'agis dans le cadre de la loi, qui doit être enfin appliquée, que la facilité de classer car il s'agit d'êtres sans défense et sans voix a vécu, qu'il faut se réveiller sur le calvaire des chatons, et enfin mesurer la gravité des actes.
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